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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 13:42
Zimbabwe : un avion saisi avec un cadavre et du cash à bord

En provenance de Munich, l'appareil de la compagnie Western Global Airlines basé en Floride, était à destination de Durban en Afrique du Sud. Il a atterri afin de faire le plein de carburant. L'attention des membres de l'équipe au sol a été attiré à la vue de sang coulant de l'appareil. L'équipage a alors indiqué avoir percuté un oiseau. En fouillant l'appareil, un cadavre suspendu, les bras coupés, a été découvert ainsi que plusieurs millions de rands sud-africains, soit des dizaines de milliers d'euros.

Une «livraison diplomatique» ?

Cet argent, transporté dans des mallettes, s'est révélé appartenir à la Banque centrale d'Afrique du Sud. Selon les autorités de l'aéroport, l'avion avait été signalé comme ayant à bord une «livraison diplomatique». La compagnie aérienne Western Global Airlines a indiqué que le cadavre était certainement celui d'un clandestin.

«Les Boeing MD-11 avions cargo de Western Global Airlines sont loués à Airline Network Management, un client de longue date basée au Royaume-Uni, et le destinataire de l'expédition était la South African Reserve Bank», a déclaré un porte-parole officiel.

Russia Today
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12 février 2016 5 12 /02 /février /2016 14:16
Face au procès de Laurent Gbagbo et Charles Blé-Goudé à la CPI

Ce qui donne le vertige, ce n'est pas la malhonnêteté de la Cour Pénale Internationale, de ses magistrats, de leurs astuces de procédure et autres turlupinades judiciaires, car on ne pouvait réellement rien espérer de moins indigne, même avec les efforts — remarquables du reste — de la défense.

Non, ce qui donne le vertige, c'est, alors que les peuples africains, la jeunesse notamment, ont les yeux tournés vers cette monstruosité, de constater que les dirigeants de l'Afrique, eux, n'ont rien à en dire, qu'ils se contentent, réunis à l'UA, de quelques communiqués de contenu évanescent, et qu'ils laissent donc le maître colonial opérer ce qu'il veut, comme il veut.

Les nuls qui gouvernent l'Afrique n'ont décidément pas raté l'occasion de rappeler, par leur total aplatissement, qu'ils sont nuls.

Après la capture, dans les conditions que l'on sait, du Président Laurent Gbagbo, son remplacement opéré par la France, laquelle a installé « son » Alassane Dramane Ouattara sur un siège où il ne lui appartenait pas de s'asseoir, après l'emprisonnement de Gbagbo dans les geôles des « Comzones », puis son transfert à la CPI, tout était suffisamment clair. Toute l'Afrique savait le « motif urgent » qui avait pressé les dirigeants français à mettre le Président Gbagbo « à l'ombre », et lancer parallèlement la chasse à l'homme visant le chef de la Libye, Mouammar Kadhafi (/ Gaddafi), et l'ignoble assassinat de ce dernier. On le sait : le Libyen était sur le point d'aider l'Ivoirien à lancer, dans son pays, une nouvelle monnaie, qui aurait remplacé le franc « cfa » (colonies françaises d'Afrique).

Si cela s'était fait, le choc se serait aussitôt communiqué à tous les pays de la zone franc, à commencer par la CEDEAO, et c'était l'écroulement d'un outil de prédation fort utile, ressenti comme indispensable par le pouvoir français, et fort « juteux ».

Si les autres potentats africains pouvaient à bon droit observer qu'il était difficile de monter une opération juridique ou militaire pour délivrer leur collègue Laurent Gbagbo des pattes du système lié à la France et à ses alliés atlantiques, qui dominent le Conseil de Sécurité de l'ONU et la CPI, ils pouvaient, en revanche, faire l'analyse des motifs ayant conduit la France à produire ces actes d'éclatante injustice et comprendre que le bon moyen de défendre, non point tellement la personne de Gbagbo que l'esprit qui l'anime, c'était de s'attaquer directement à la tâche de poursuivre, dans le même sens que lui, la libération de leurs pays, et de préparer la sortie du système du franc cfa et la mise en place de nouveaux systèmes monétaires.

Or c'est bien ce que ces nuls n'ont en aucune façon envisagé de faire. Ils restent de petits profiteurs, qui, pour profiter, se sont faits les gentils valets de la puissance ex-et-toujours coloniale ; laquelle se permet même de les étriller ou seulement de les agacer, de temps à autre, en faisant semblant de vouloir leur faire rendre les « biens mal acquis ». On les voit alors se rebiffer, essayant de se grandir en prenant des poses, alors que ce ne sont que des nabots indignes. Quel spectacle, quelle désolation ! Il reste qu'un et un seul a osé commencer à se lancer dans cette libération monétaire et financière, et qu'il a été arrêté de vive force alors qu'il était sur le point de réussir, et c'est Laurent Gbagbo. Apparemment, jusqu'ici, il n'y a pas la relève ; et la jeunesse africaine pourra encore attendre longtemps que « ça change ». Il va falloir que, dans ses rangs, se lèvent des hommes nouveaux, des penseurs et hommes d'action courageux pour qu'enfin cette première étape de la sortie du franc cfa se produise.

Mais, pour l'instant, comme le montre le spectacle de ce grand silence des soi-disant « chefs », il est inutile de regarder vers les capitales de l'Afrique — et pas plus Pretoria que les autres, du reste — : rien ne bouge. C'est sans doute de « la glèbe profonde », çà et là, que jailliront de vrais lutteurs, destinés à conduire l'Afrique vers un destin meilleur.

On les attend.

La France, aidée de ses alliés, peut bien faire croupir en prison Gbagbo, et son second, Blé-Goudé, ce n'est pas cela qui empêchera son déclin. On peut même dire qu'elle se trouve engagée, par son jeu aussi imprudent que malhonnête, à faire apparaître ce spectacle aussi clair qu'un feu d'artifice : un chef honnête, prudent et tourné vers l'avenir est emprisonné, et les autres, en liberté, ne sont que des pantins. Il n'y avait sans doute pas de moyen de montrer ça plus clairement qu'en faisant ce procès sur fond de non réaction, de total aplatissement de la classe politique africaine d'aujourd'hui. Au moins, devant ça, les jeunes Africains et Africaines ne peuvent plus ignorer dans quoi ils sont, ni dans quel état politique se trouve le continent.

A eux de prendre la main dès qu'ils y seront prêts. Ce procès est la meilleure invite et la plus claire qu'on pouvait leur faire. Et bien sûr, chacun peut lire dans ce papier l'hommage que je rends à l'homme exemplaire que j'ai nommé, et les souhaits que je forme, en dépit de tout espoir, pour sa libération, ainsi que pour celle de Charles Blé-Goudé, homme jeune qu'il est épouvantable de voir moisir à l'ombre.

Christian Velpry

Citoyen français

Africain de cœur

Paris, le 8 février 2016

le 11 février 2016, face sans doute à l'agitation des esprits induite par le procès à la CPI, l'émotif ancien président français Nicolas Sarkozy n'a pu résister à la pression de ses « mauvais souvenirs » de 2011 et a de nouveau avoué les motifs aussi réels que non officiels de l'intervention de la France en Côte d'Ivoire et en Libye.

Il s'est écrié :

«Pas question de laisser les anciennes colonies françaises d'Afrique avoir leurs propres monnaies !»

Dans la suite de son interview, il explique, apparemment sans la moindre gêne, que si la France consentait à une telle mesure, son revenu s'effondrerait tellement qu'elle se retrouverait au mieux à la 20e place des économies mondiales.

Christian Velpry
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11 février 2016 4 11 /02 /février /2016 09:04
Nicolas Sarkozy: «Pas question de laisser les anciennes colonies françaises d'Afrique avoir leurs propres monnaies !»

Apparemment, l'ancien président de la république Française s'est à nouveau illustré dans des propos choquants mardi dernier.

Lors d'une interview à BFMTV, Il a déclaré que le meilleur moyen de préserver la bonne santé de l'économie française, c'était de maintenir le F CFA comme la seule monnaie utilisable dans les colonies françaises en Afrique.

"La France ne peut pas permettre que ses anciennes colonies créent leur propre monnaie pour avoir le Contrôle total sur leur Banque centrale. Si cela se produit, ce sera une catastrophe pour le trésor public qui pourra entraîner la France au rang de 20ème puissance économique mondiale. Pas question de laisser les anciennes colonies françaises d'Afrique avoir leur propre monnaie "

Le franc CFA (franc des colonies françaises d'Afrique) est le nom de deux monnaies communes à plusieurs pays d'Afrique constituant en partie la zone franc d'Afrique centrale (CEMAC) et la zone franc d'Afrique de l'Ouest (UEMOA).

Le principe 4 est le plus technique. D'abord, il faut préciser que la banque de France ouvre d'une part un compte pour chaque banque centrale (Un pour la BCEAO et un pour la BEAC), d'autre part un compte pour chacun des états membres des zones.

Voila comment cela fonctionne : lorsqu'un pays de la zone CFA exporte vers un autre pays que la France, il récolte des devises qui alimentent la Banque Centrale considérée. Et cette banque Centrale a alors obligation de transférer sur son compte ouvert à la Banque de France au moins 50 % de ses rentrées de devises. A ce jour donc, c'est la Banque de France qui gère 50 % des devises des pays des zones franc.

Enfin : il faut préciser que les instances de gouvernance et d'exécution de tout ce système (Conseil d'Administration, de surveillance, …) incluent des représentants de l'état français qui possèdent un droit de veto et qui sont payés pour préserver les intérêts de leur pays (Ce qu'on ne saurait leur reprocher par ailleurs).

Le franc CFA (franc des colonies françaises d'Afrique) est le nom de deux monnaies communes à plusieurs pays d'Afrique constituant en partie la zone franc d'Afrique centrale (CEMAC) et la zone franc d'Afrique de l'Ouest (UEMOA). En Afrique, les zones franc constituent des espaces monétaires et économiques. Ces ensembles, formés d'États et de territoires, sont issus de l'évolution et des transformations de l'ancien empire colonial français et d'États qui n'étaient pas des colonies françaises comme le Cameroun et le Togo (d'abord colonies allemandes), la Guinée équatoriale (espagnole) et la Guinée-Bissau (portugaise). Après l'accession à l'indépendance, la plupart des nouveaux États sont restés dans un ensemble monétaire homogène, dont le cadre institutionnel a été rénové et qui a été structuré par un système de change commun. Leurs devises sont des contre-valeurs à parité fixe avec l'euro, dont la valeur est garantie par le Trésor public français, dans le cadre du traité de Maastricht.

Africa24.info
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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 19:32
Stefonknee Wolscht et sa nouvelle famille. © Capture d'écran.

Stefonknee Wolscht et sa nouvelle famille. © Capture d'écran.

L'homme, ou plutôt la fillette, a depuis été adoptée par un couple.

Après 23 ans de mariage et sept enfants, un transgenre canadien de 52 ans a laissé sa famille pour assumer ce qui est selon lui sa véritable identité: une petite fille de six ans.

"Arrête d'être transgenre ou pars"
Stefonknee Wolscht a débuté sa transformation il y a six ans. Une situation qui, on l'imagine, n'était pas facile à vivre pour son épouse: "Ma femme m'a posé un ultimatum: arrêter d'être transgenre ou partir. C'est quelque chose que je ne pouvais concevoir", explique Wolscht qui se déguisait en cachette bien avant son mariage.

The Transgender Project
Stefonknee Wolscht a notamment fait l'objet d'un documentaire diffusé sur la télévision canadienne. "The Transgender Project" raconte en effet les histoires de plusieurs personnes transsexuelles au Canada.

Suicidaire
Le documentaire met en lumière tous les aspects de la vie de Stefonknee Wolscht, y compris la peine éprouvée lorsqu'il quitta sa famille: "Je ne peux nier que j'étais marié, que j'avais des enfants. Mais je ne veux plus être un adulte", raconte-t-il au DailyStar. Son mal-être était tel qu'il a tenté plusieurs fois de se suicider.

Stefonknee Wolscht et son ex-femme. © The Transgender Project.

Stefonknee Wolscht et son ex-femme. © The Transgender Project.

Stefonknee Wolscht (à droite) et son ancienne famille. © Capture d'écran.

Stefonknee Wolscht (à droite) et son ancienne famille. © Capture d'écran.

Adoption
Aidé par la communauté transgenre de Toronto, Wolscht a été adopté par une famille: "J'ai une maman et un papa. Enfin, ce sont des parents adoptifs mais ils me comprennent", explique-t-il. Les enfants et petits-enfants du couple adoptif acceptent également la situation.

Jeux, coloriage et bonheur
Enfin heureux, Stefonknee vit pleinement sa nouvelle vie de petite fille et ses tendances suicidaires appartiennent au passé. Ses activités favorites? Jouer avec sa grande soeur de sept ans et faire des coloriages. Des trucs d'enfants, quoi

Stefonknee Wolscht vit pleinement sa vie de fillette avec ses parents adoptifs. © The Transgender Project.

Stefonknee Wolscht vit pleinement sa vie de fillette avec ses parents adoptifs. © The Transgender Project.

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 19:25
Mais qui donc commercialise le pétrole volé par Daesh ?

Suites aux preuves apportées par l’état-major russe attestant de l’implication de l’État turc dans la commercialisation du pétrole volé par Daesh [1], les autorités maltaises ont débuté une investigation sur les bateaux du groupe BMZ de Necmettin Bilal Erdoğan qui battent tous pavillon maltais.

Il apparaît que ces navires (Mecid Aslanov, Begim Aslanova, Poet Qabil, Armada Breeze et Shovket Alekperova) ont tous été achetés à une des très nombreuses filiales maltaises de Palmali Shipping & Agency JSC, dont le siège est situé à Istanbul (Turquie).

Or, dans un article du Réseau Voltaire daté de juin 2014 et dans une chronique de Mikhaïl Leontiev pour la première chaîne de télévision russe de novembre 2015, Thierry Meyssan assurait que le propriétaire de cette société, le milliardaire turco-azéri Mubariz Mansimov-Gurbanoğlu (photo), organisait la mise sur le marché du pétrole volé par Daesh [2] ; une responsabilité qu’il aurait conservée jusqu’au vote, en février 2015, par le Conseil de sécurité, de la résolution 2199 interdisant de faire commerce avec des organisations terroristes, puis transférée à la famille Erdoğan [3].

Dans le même article, Thierry Meyssan accusait explicitement Exxon-Mobil d’acheter ce pétrole à Mubariz Mansimov-Gurbanoğlu et de l’écouler ; une seconde imputation pour le moment non-reprise par les médias internationaux. En outre, en plusieurs occasions, il a accusé la compagnie transnationale Exxon-Mobil d’être l’un des principaux soutiens financiers et militaires de Daesh [4].

Les autorités maltaises cherchent donc à savoir si Mubariz Mansimov-Gurbanoğlu a effectivement cessé de travailler avec Daesh ou s’il a simplement partagé le marché avec la famille Erdoğan.

Toujours selon Thierry Meyssan, le Mecid Aslanov (désormais propriété de la société de Necmettin Bilal Erdoğan) a déchargé du pétrole volé par Daesh, à Fos-sur-Mer (France), en novembre 2015, ce qui invaliderait les déclarations publiques du président François Hollande contre l’organisation terroriste [5]. Il a également déclaré que non seulement la France, mais Chypre, Israël, l’Italie et l’Ukraine utilisent actuellement du pétrole volé par Daesh.

“Maltese ships owned by Turkish president’s son being implicated in ISIS oil trade”, David Lindsay, Malta Independent, December 13, 2015.

[1] « La Russie expose les preuves du trafic de pétrole de Daesh via la Turquie », par Valentin Vasilescu, Traduction Avic, Réseau Voltaire, 3 décembre 2015.

[2] « Jihadisme et industrie pétrolière », par Thierry Meyssan, Al-Watan(Syrie), Réseau Voltaire, 23 juin 2014. « Аналитическая программа "Однако" с Михаилом Леонтьевым », Михаи́л Лео́нтьев , 1tv (Россия),Сеть Вольтер, 30 ноября 2015 (disponible en anglais et en allemand).

[3] « Le rôle de la famille Erdoğan au sein de Daesh », Réseau Voltaire, 26 juillet 2015.

[4] « Exxon-Mobil, fournisseur officiel de l’Empire », par Arthur Lepic,Réseau Voltaire, 26 août 2004.

[5] « Les opérations militaires qui se préparent en Syrie et alentour », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 14 décembre 2015.

Source

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 19:22
L'Allemagne demande la suppression des frontières nationales au sein de l'UE !

L'info passe à la trappe en ce jour de Régionales, pourtant, Merkel vient d'annoncer une bombe: La suppression pure et simple des frontières nationales au sein de l'UE. Vous comprenez maintenant pourquoi la France n'a plus que 13 régions et pourquoi cette annonce aujourd'hui. Tout était prévu, même la crise migratoire, le prétexte pour Merkel...

La chancelière fédérale allemande Angela Merkel semble avoir l’intention d’utiliser la crise migratoire actuelle pour approfondir le processus d’intégration européenne, en particulier, avec la suppression des frontières nationales. L’Allemagne pourrait être la grande gagnante de cette mesure.

Mme Merkel a reçu le soutien du président allemand Joachim Gauck, qui, lui aussi, considère la crise migratoire comme le moment propice pour définitivement supprimer les frontières nationales, annonce l'édition Deutsche Wirtschafts Nachrichten.

Par ailleurs, la chancelière et le président comprennent que ce genre de décisions ne peut être réalisé qu'avec un fort soutien extérieur. Cependant, l'Allemagne profite déjà de tous les avantages de l'Europe unie et est le pays le plus intéressé par le développement de l'intégration.

Selon l'édition, dans cette situation, les déclarations de Mme Merkel qui proteste contre le renforcement des frontières à l'intérieur de l'Union européenne en faisant appel aux valeurs européennes ne sont que de la communication politique.

La chancelière insiste sur le fait que les frontières pourront seulement aggraver les contradictions entre les pays, et que, pour elle, il s'agit d'une question d'honnêteté et de confiance. Cependant, la défense des réfugiés et des droits de l'homme devient pour Mme Merkel une rhétorique convenue pour cacher les vrais buts de sa politique.

D'après la chancelière allemande, la suppression des frontières nationales constitue un pas logique, suite à l'apparition de la monnaie unique européenne, malgré le fait que de tels plans soient une menace pour les droits des Etats nationaux, estime l'édition.

Dans le même temps, la coopération économique dans l'Union européenne pourrait empêcher ses membres de protester contre ces idées. Les pays pourraient admettre que l'accès à des programmes financiers communs est plus important que la souveraineté nationale, conclut l'édition.



http://fr.sputniknews.com/international/20151213/1020248789/merkel-supprimer-frontieres-europeennes.html#ixzz3uE7zPZBN

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6 décembre 2015 7 06 /12 /décembre /2015 15:36
Si cette scène vous met mal à l'aise, "regardez ailleurs"        Sauvegarder

Alors qu'elle allaitait son bébé dans un restaurant bondé, Ashley a surpris le regard "dégoûté" d'une autre femme.

La question d'allaiter son enfant en public reste un sujet sensible de nos jours. Si les célébrités n'hésitent plus à s'afficher fièrement avec leur poitrine dénudée, pour les autres mamans, c'est plus compliqué. Le 25 novembre dernier, Ashley Kaidel a relancé le débat sur Facebook et sa photo est en train de battre des records de buzz sur la toile, indique le site de Terrafemina.

Photographiée en train d'allaiter son bébé dans un restaurant, cette jeune mère de deux enfants confie: "Sur la photo, on dirait que je regarde au loin. En réalité, je fixe le visage d'une femme qui me dévisage. Elle me regarde avec dégoût, en hochant la tête d'un air désapprobateur dans le but de m'humilier et de me dire indirectement que ce que je fais est mal et que je devrais me couvrir."

Le but d'Ashley n'est pas de dire à toutes les femmes: "Montrez vos seins au monde!" Mais elle s'adresse à celles qui ont été humiliées par des commentaires insultants. Et elle rappelle aux gens mécontents: "Qu'on soit clairs, avant d'être une source de plaisir pour les hommes, les femmes, les partenaires et les époux, les seins sont faits pour subvenir aux besoins d'un enfant. Leur unique fonction est de produire de la nourriture et de la distribuer directement à l'enfant qui en a besoin. Ça n'a rien de bizarre, et il n'y a pas de différence entre mon enfant nourri au sein et vous qui vous nourrissez avec une cuillère."

Et si la vue d'une mère en train de donner le sein à son enfant vous dérange tellement, vous n'avez qu'à "regarder ailleurs" selon Ashley. "N'est-ce pas plus facile d'éviter de regarder une scène qui vous déplaît plutôt que de demander à une mère et à son enfant de disparaître de votre vue? Regardez ailleurs, c'est facile à faire et ça ne fait de mal à personne."

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1 décembre 2015 2 01 /12 /décembre /2015 08:44
Thom Miller entouré de ses épouses Belinda (gauche) et Reba (droite). © Capture d'écran.

Thom Miller entouré de ses épouses Belinda (gauche) et Reba (droite). © Capture d'écran.

Tout ce petit monde habite désormais sous le même toit, chaque épouse disposant toutefois d'une aile à part. L'incarnation de la famille moderne?

Le révérend Thom Miller est un homme heureux. À 60 ans, cet ancien mafieux ayant trouvé la foi lors d'un séjour en prison, coule désormais des jours heureux à Mansfield, Ohio, en compagnie de ses deux femmes Belinda, 44 ans, et Reba, 19 ans et enceinte de Thom.

Polygamie
La polygamie, Thom et Belinda l'ont évoquée à de nombreuses reprises depuis leur mariage il y a sept ans. Ils sont passés des paroles aux actes lorsqu'ils ont revu Reba Kerfoot, que Thom a connu alors qu'elle n'était encore qu'une enfant.

Au début, les proches de Reba se sont montrés sceptiques quant à cette relation. "Ma famille était contre à l'époque car ils pensaient que c'était mal de fréquenter un homme marié", raconte la jeune femme. "Mais ils se sont accommodés et sont désormais heureux pour moi", ajoute-t-elle.

La future maman avoue quand même que partager son homme avec une autre femme n'est pas tous les jours facile. "J'essaie de ne pas être jalouse, et lorsque ce n'est pas à mon tour de passer du temps avec Thom, j'en profite pour voir des amis".

Une aile pour chaque femme
Car si cette famille un peu spéciale vit dans la même maison, que Thom a lui-même construite, chaque épouse y dispose d'une aile qui lui est réservée, Thom alternant entre les deux.

La famille Miller devant leur maison de Mansfield, Ohio. © Capture d'écran Youtube.

La famille Miller devant leur maison de Mansfield, Ohio. © Capture d'écran Youtube.

Par ailleurs, Reba porte l'enfant de Thom, qui sera d'ailleurs le premier de la famille Miller. Belinda, la première épouse, confie d'ailleurs que les deux femmes plaisantent régulièrement sur le fait de savoir dans quelle partie de la maison le nouveau-né dormira.

Le couple est devenu proche de l'adolescente lors d'une action de bénévolat. Peu de temps après, elle s'est installée avec eux. Ami proche des parents de Reba, Thom affirme qu'il a été surpris lorsqu'il l'a revue après plusieurs années: "j'ai compris qu'il y avait quelque chose lorsqu'elle m'a pris dans les bras. Je n'ai pas voulu la lacher et je me suis dit "wow, j'apprécie vraiment cette femme"", raconte-t-il.

"Je n'ai pas de préférence"
Le révérend détaille leur vie à trois: "cette situation nous convient parfaitement. Par contre, je suis le seul qui ait la permission d'avoir d'autres partenaires, et mes épouses le comprennent et l'acceptent parfaitement". Il ajoute également que ses femmes sont sexuellement logées à la même enseigne: "je n'ai pas de préférence et j'essaie de passer autant de temps de manière intime avec l'une qu'avec l'autre", assure-t-il.

Le révérend avoue toutefois que tout le monde n'accepte pas cette situation au sein de sa congrégation. Mais pas question pour lui de se cacher: "je ne prêche pas en faveur de la polygamie. Néanmoins, je pense avoir un style de vie tout à fait chrétien. Par contre, je ne comprends pas pourquoi les mariages entre homosexuels sont désormais reconnus, alors que ma seconde union ne l'est pas", déplore l'homme de foi.

Un passé trouble
Avant de se repentir, Thom Miller menait une vie de criminel au sein de la mafia locale, durant laquelle le crime, la violence et la drogue étaient les maîtres mots. Lors d'une interview accordée à un journal local en 2003, Miller a déclaré qu'on lui a tiré dessus à trois reprises, qu'il est passé par la case prison plus de ving fois et qu'il a engendré une douzaine d'enfants avec cinq femmes différentes.

Jamais douze sans treize.

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30 novembre 2015 1 30 /11 /novembre /2015 12:00
Les 20 maladies que vous pouvez guérir en faisant l'amour

C’est une étude très sérieuse de l’université de Wilkes qui démontre que faire l’amour deux à trois fois par semaine (au moins !) vous aiderez à aller mieux. En effet, le sexe libère un anticorps nommé immunoglobuline qui aide renforce les défenses de l’organisme contre les infections et les maladies.

1. Le sexe protège du cancer de la prostate.

Des recherchent montrent qu’éjaculer souvent (au minimum 5 fois par semaine) diminue le risque d’avoir un jour un cancer de la prostate.

2. Le sexe maintien en forme.

Eh oui, ce n’est pas pour rien qu’on appelle aussi ça le « sport de chambre » ! Avoir une activité sexuelle régulière est très bon pour votre système cardiaque. En plus, vous faites aussi travailler tous les muscles du corps. Le calcul est simple, en une demi-heure d’ébats, vous brûlez 200 calories. Faites ça 3 fois par semaine, et vous brûlez 600 calories. C’est l’équivalent d’un régime, en beaucoup beaucoup beaucoup plus agréable !

3. Le sexe débarrasse des maux de tête.

Au moment de l’orgasme, une hormone appelée ocytocine est sécrétée, elle fait augmenter le niveau d’endorphines. Ces derniers agissent comme un antidouleur qui permet au corps de se relâcher et se détendre. Il n’est donc pas rare de ne plus avoir mal à la tête après avoir fait l’amour.

4. Le sexe combat la dépression.

En général, les femmes qui ont des orgasmes réguliers chaque semaine sont plus détendues, moins stressées et mieux dans leurs baskets. Faire l’amour aide à relâcher la tension nerveuse de l’organisme. De la sérotonine est produite dans le cerveau, elle contrôle les humeurs un peu comme un antidépresseurs.

5. Le sexe garde jeune.

Pour paraître 10 ans de moins, le secret, c’est le sexe ! Le docteur écossais David Weeks a mené une étude sur les habitudes de vie d’environ 3500 personnes. Chacune d’entre elles avait 3 rapports sexuels minimum par semaine. Ces personnes avaient la particularité de paraître beaucoup plus jeune que leur âge réel. Ce résultat a été confirmé par bien d’autres recherches.

6. Le sexe guérit l’esprit.

Faire l’amour fait du bien à la tête ! C’est un plaisir très grand que l’on partage avec une personne. C’est aussi une activité saine aussi bien physiquement que mentalement. Lors du rapport sexuel, tous les sens et les émotions sont décuplés. Le sexe est un moment de liberté et d’apaisement.

7. Le sexe rend heureux.

En général, c’est un fait, les gens qui sont sexuellement actifs sont plus heureux et moins à la merci d’une dépression. Ils voient le verre à moitié plein !

8. Le sexe aide à dormir.

Il existe plusieurs astuces pour lutter contre l’insomnie, comme par exemple regarder moins la télé ou prendre un bain avant d’aller au lit. Cependant, faire l’amour est peut-être la méthode la plus efficace. Les hommes, eux, s’endorment presque instantanément après le rapport. Pour les femmes, ça a un effet relaxant.

9. Le sexe protège des maladies de la peau.

Lors du rapport sexuel, de la testostérone est libérée par le corps. Cette hormone a un rôle primordial, elle permet de garder les os et les muscles en bonne santé, et surtout, elle assure l’aspect jeune de la peau.

10. Le sexe protège du cancer du sein.

Une étude australienne montre que la stimulation des seins et l’orgasme pousse le corps de la femme à secréter de l’ocytocine. Cette hormone, plus connue comme antidouleur, préviendrait donc des cancers de ce type.

11. Le sexe protège des maladies cardiovasculaires.

Une étude réalisée à l’Université Queen de Belfast montre que faire l’amour trois fois par semaine réduit de moitié le risque d’attaque cardiaque ou d’AVC. Chez les femmes, le rapport sexuel augmente la sécrétion d’œstrogènes, connus pour lutter contre les maladies cardiaques. Pour les hommes, selon une autre étude, le sexe au moins deux fois par semaine réduit le risque de crise cardiaque fatale, de 50% de plus, par rapport aux hommes qui ne font l’amour qu’une fois par mois.

12. Le sexe bonifie l’estime de soi.

L’appétit vient en mangeant ! Plus vous avez de rapports sexuels, plus vous en avez envie. Parmi toutes les hormones libérées pendant le câlin, il y a une grande quantité de phéromones. Ces derniers attirent encore plus votre partenaire. Au final, se sentir désiré(e) nous fait sentir beau ou belle, d’où l’augmentation de l’estime.

13. Le sexe augmente la maîtrise de soi.

Des rapports sexuels réguliers apaisent et réduisent le stress. Ils procurent épanouissement et confiance en soi. Une étude menée à Scotland a démontré que les personnes sexuellement actives gardent beaucoup plus leur sang-froid en cas de situation stressante.

14. Le sexe protège de la grippe et de l’asthme.

Selon les chercheurs, faire l’amour au moins une fois par semaine augmente la production d’anticorps. Ils nous protègent des infections virales comme la grippe. Le sexe est aussi un antihistaminique efficace, il combat avec succès l’asthme et les rhumes.

15. Le sexe fait vivre plus longtemps.

Non seulement le sexe vous fait sentir plus jeune, mais la science montre qu’il peut réellement ralentir le processus de vieillissement. Pendant l’orgasme, le corps sécrète la DHEA, une hormone connue pour fortifier le système immunitaire, la réparation des tissus qui aide à garder une peau jeune. La DHEA favorise également la production d’autres hormones comme les œstrogènes, qui peut prolonger la vie par l’amélioration de la santé cardiovasculaire. C’est donc prouvé, le sexe rajeunit !

16. Le sexe protège contre les maladies mentales.

Selon une étude, le sperme, absorbé par le corps humain permet à la femme de réguler ses hormones de façon optimale. Et quand on sait que les hormones agissent sur l’humeur, ça explique pourquoi ce processus réduit le risque de maladie mentale.

17. Le sexe soigne les problèmes de dos.

Selon plusieurs études, la stimulation vaginale aurait pour effet d’augmenter la tolérance à la douleur. Selon les scientifiques, ce genre de stimulation peut soulager la douleur causée par les crampes menstruelles, l’arthrite ainsi que le mal de dos.

18. Le sexe protège contre les caries.

C’est prouvé, la salive nettoie et fait diminuer le niveau d’acide qui cause les caries. Un analgésique, dans la salive, appelé opiorphine soulage les douleurs physiques, selon une étude française

19. Le sexe soulage de la drépanocytose.

Pendant le rapport sexuel, le rythme cardiaque s’accélère et fait donc augmenter le niveau d’oxygène dans le sang et la vitesse de la circulation du sang. Ces deux conditions réunies évitent le développement de la maladie.

20. Le sexe contribue au bonheur.

Plusieurs économistes de l’Université de Warwick se sont amusés à comparer comment la sexualité et l’argent contribuaient au bonheur. Après avoir interrogé 16 000 personnes, la constatation principale est que les personnes qui sont les plus heureuses sont aussi celles qui font plus l’amour. Et l’impact semble être le plus fort chez les individus au niveau d’éducation élevé. Evidemment, un revenu supérieur, n’implique pas forcément plus de rapports sexuels.


Alors si vous espérez vivre longtemps et heureux, faites l'amour aussi souvent que possible. C'est bon pour la santé !

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30 novembre 2015 1 30 /11 /novembre /2015 11:56
Syrie – Daesh – Révélations incroyables sur France Inter !

Il y a quelques semaines, nous aurions du aller chercher de telles informations sur les chaînes russes, pour se faire alors dénigrer. Et pourtant, après une catastrophe parfois tout change! Du moins c'est l'impression qu'on peut avoir aujourd'hui...

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